vendredi 13 août 2010

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jeudi 12 août 2010

Alzheimer : l'espoir de la stimulation cérébrale
Mots clés : Alzheimer

Crédits photo : AFP
La mémoire pourrait bénéficier d'une sonde implantée dans le cerveau.

La maladie d'Alzheimer frappe plus de 800.000 personnes en France et l'on ne dispose pas encore de traitements efficaces. Plusieurs essais thérapeutiques sont en cours, plusieurs stratégies de prévention envisagées, mais rien qui permette pour l'instant d'empêcher la dégradation de la mémoire. Cette semaine, la revue américaine Annals of Neurology présente des résultats de travaux de recherche tout à fait novateurs concernant six personnes souffrant d'un début de maladie d'Al¬zheimer et traités entre 2005 et 2008 par stimulation cérébrale profonde avec une sonde. Certes, l'amélioration cons¬tatée au bout d'un an ne concerne que la moitié des patients traités. Néanmoins, si ce travail pour l'instant expérimental se confirme, une nouvelle ère, tant de recherche que dans la prise en charge de cette maladie, pourrait s'ouvrir. Tout en sachant que la stimulation cérébrale nécessite un geste chirurgical sur le cerveau et requiert donc un plateau technique performant.
C'est en 2003, qu'Andres M. Lozano (service de neurologie fonctionnelle, université de Toronto, Canada) a eu l'intuition qu'une stimulation cérébrale pouvait avoir un effet sur la maladie d'Alzheimer, après que des essais ont mis en évidence son efficacité dans la maladie de Parkinson et dans certaines dépressions… Cette année-là, pour la première fois, une patiente obèse souffrant de trouble de la mémoire a bénéficié d'une implantation cérébrale de ce type sous sa supervision.
Amélioration des souvenirs
L'hypothèse de départ est que la stimulation de certaines régions du cerveau, notamment l'hippocampe et le fornix, connues pour être impliquées dans les phénomènes de mémorisation, pourrait avoir un effet frénateur sur la maladie. Sous ce traitement, cette patiente a pu retrouver des éléments de sa biographie personnelle, avec notamment une amélioration des souvenirs et de l'aptitude à les verbaliser. Forte de cette première expérience, l'équipe canadienne a alors obtenu l'autorisation de tester cette méthode sur six malades âgées de 40 à 80 ans, souffrant d'une maladie d'Alzheimer de diagnostic récent (moins de deux ans) et qui avaient déjà bénéficié des traitements existants.
L'intervention a d'abord consisté à repérer certaines zones cérébrales précises particulièrement touchées dans la maladie grâce à l'imagerie par résonance magnétique nucléaire. Puis des électrodes de stimulation cérébrale profonde ont été implantées de manière bi¬latérale dans le cerveau au niveau des zones repérées. Les électrodes ont été sti¬mulées alors que le patient était éveillé, pour vérifier qu'elles n'altéraient pas des zones fonctionnelles et n'in¬duisaient pas des symptômes imprévus. Enfin, elles ont été connectées à un générateur interne implanté au niveau de la poitrine, sous anesthésie générale cette fois.
Amélioration possible ou ralentissement du déclin
Tous les patients ayant bénéficié de cette expérience sont rentrés chez eux quelques jours plus tard. «L'évaluation de signes de la maladie d'Alzheimer par différents tests suggère une amélioration possible ou un ralentissement du déclin des fonctions cognitives au bout de six mois et au bout d'un an, pour un certain nombre de patients», relatent les au¬teurs de cet essai clinique. Il n'y a pas eu de complications particulières.
En tout état de cause, ces chercheurs plaident pour un nouvel essai thérapeutique afin de comparer les effets de cette technique avec un placebo. «Ce travail est bien fait, mais il est très préliminaire, assure Françoise Forette (professeur de gériatrie, hôpital Broca, Paris). Il faut cependant souligner que ce sont les patients les moins atteints au départ qui ont bénéficié des meilleurs résultats. Par ailleurs, les chercheurs ont pu observer une amélioration du métabolisme cérébral ce qui est tout à fait encourageant.»
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Maladie d'Alzheimer : Congrès scientifique ICAD à Honolulu
Des progrès dans la détection mais pas d'avancée significative dans la guérison

Les scientifiques ont fait état de progrès dans la détection de la maladie d'Alzheimer lors d'une congrès qui a eu lieu à Honolulu à la mi juillet.
Ils ont aussi apporté des preuves que plus d'exercice et de vitamine D peuvent réduire le risque, mais pas d'avancées signitificative dans les traitements à ce jour.

Le congrès sur la maladie d'Alzheimer qui s'est tenu à la mi juillet à Honolulu (International Conference on Alzheimer's disease: ICAD) a confirmé le constat qu'aucune percée thérapeutique n'avait eu lieu. Pire aucune avancée significative ne parait être à espérer au cours des années qui viennent. Toutefois des progrès annexes ont été réalisés contre une démence qui touche plus de 26 millions de personnes dans le monde entier dont un million en France.

Faits saillants de la recherche
Prévention
Des exercices physiques modérés ou intenses, mais surtout réguliers réduiraient de moitié le risque de développer une démence indiquent des chercheurs en cardiologie de l’université de Framingham (Etats Unis). Des études antérieures ont également constaté l’aide apportée par l'exercice. " Cela semble être aussi bon que n'importe quoi » pour prévenir la démence , a tempéré le Dr Richard Mayeux, un neurologue de l'Université Columbia.

Vitamine D.
Une autre grande étude financée par le gouvernement américain a constaté que la carence en vitamine D peut multiplier par quatre le risque de déficience mentale. Cela ne signifie pas la prise de suppléments soit une bonne idée.
Voir les "actualités 2010 en médecine gériatrique" par le Pr Belmin de la SFGG (Société française de gériatrie et gérontologie qui ont traité de la nécessité de traiter la carence en vitamine D)

Nouveau traitement
Un spray nasal d'insuline a montré une amélioration des processus cognitifs, mais des études plus vastes sont nécessaires pour voir si cela fonctionne. Ces essais sont basés sur la théorie selon laquelle la maladie d'Alzheimer et le diabète sont liés. Les diabétiques semblent avoir un risque plus élevé de développer la maladie d'Alzheimer, et les patients d'Alzheimer ont tendance à avoir une résistance à l'insuline, a dit Ryan. Donner Avec un spray nasal, l'insuline part directement au cerveau sans affecter les niveaux de sucre sanguin.

Amélioration de la détection de la maladie
De nombreux types d' imagerie peuvent informer sur la réalité de la démence. Des colorants radioactifs permettent à un scanner de voir la plaque qui recouvre le cerveau et qui est un élément clé de la maladie d'Alzheimer. De meilleurs colorants sont expérimentés aujourd’hui. Le laboratoire Avid de Philadelphie a fait état de tests positifs avec un colorant qui offre un système d'alerte anticipée pour les personnes au premier stade de la maladie d'Alzheimer. Mais compte tenu du coût d’un scanner et du prix futur élevé des colorants, il sera difficile de généraliser la méthode. Ces outils serviront surtout à sélectionner de nouveaux patients pour les essais de médicaments.

Lutte contre la plaque amyloide.
Les scientifiques n’ont toujours pas établi si la plaque est une cause, une conséquence, ou tout simplement un signe de la maladie d'Alzheimer . Deux médicaments expérimentaux ont montré des améliorations dans la réduction de la plaque sans que cela conduise à une amélioration des possibilités cognitives du patient. Le chemin sera long avant une percée significative.

source:www.agevillage.com
Un marqueur biologique permet de prédire avec fiabilité les cas d'Alzheimer
Les futurs cas d'Alzheimer peuvent être prédits avec plusieurs années d'avance avec près de 100% d'exactitude grâce à des marqueurs biologiques présents dans le liquide céphalo-rachidien, affirme une étude publiée lundi. Geert De Meyer de l'université Ghent en Belgique et ses collègues de l'ADNI (Alzheimer's Disease Neuroimaging Initiative) ont analysé des données provenant de plus de 400 personnes âgées: 114 personnes aux fonctions cognitives normales, 200 ayant des troubles cognitifs légers et 102 atteintes de la maladie d'Alzheimer. Ils ont identifié un marqueur biologique très spécifique présent chez 90% des sujets atteints d'Alzheimer, 72% des personnes souffrant de troubles cognitifs légers et 36% des personnes aux fonctions cognitives normales. Ces résultats ont ensuite été recoupés au sein d'échantillons plus réduits. Dans l'un d'eux, 57 patients atteints de troubles cognitifs légers ont été suivis pendant cinq ans. Le modèle s'est montré efficace à 100% pour prédire les cas d'Alzheimer, écrivent les auteurs dans l'American Medical Association's Archives of Neurology. Les auteurs soulignent que la communauté scientifique pense habituellement que "le début du processus pathogène de la maladie d'Alzheimer (...) précède les premiers symptômes de 10 ans ou plus". Mais le fait que les marqueurs biologiques aient été présents chez plus d'un tiers des sujets sans troubles cognitifs suggère que la maladie est active et détectable encore plus tôt qu'on ne l'imaginait. Les scientifiques étaient en quête d'un marqueur biologique de la maladie d'Alzheimer depuis la fin des années 1990. Environ 37 millions de personnes dans le monde, dont 5,3 millions aux Etats-Unis, sont atteintes de démences, la plupart des cas étant dus à la maladie d'Alzheimer, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'étude publiée lundi a été financée pat l'ADNI.
source:www.lemonde.fr
mardi 10 août 2010
ALZHEIMER : Des scientifiques découvrent l’effet protecteur d’une protéine, la neuroglobine
Une équipe de scientifiques de l'Université de Californie et de l'Université d'Auckland (Australie) vient de découvrir comment la neuroglobine, une protéine, protège de la maladie d'Alzheimer en empêchant les neurones du cerveau de mourir en réponse au stress naturel. En démontrant d’abord que de faibles niveaux de neuroglobine dans les neurones du cerveau sont associés à un risque accru de maladie d'Alzheimer, les chercheurs viennent de déterminer comment la neuroglobine empêche la formation d’un enzyme qui contribue à la mort des neurones. Des résultats publiés dans la revue Apoptose qui pourraient également permettre le développement de nouveaux traitements préventifs de l’AVC.



La neuroglobine (Ngb) est une protéine de stockage et de transport de l'oxygène dans le système nerveux et son expression contribue à la survie des neurones. Ici, les scientifiques ont appris que la neuroglobine protège les cellules contre les dommages de l’accident vasculaire cérébral, contre la toxicité de l’amyloïde, un peptide néfaste pour le système nerveux et signe précurseur d’Alzheimer et contre les effets du manque d'oxygène.



La Ngb est produite dans diverses régions du cerveau et à des niveaux particulièrement élevés dans les neurones. Les scientifiques ont associé de faibles niveaux de neuroglobine dans les neurones du cerveau à un risque accru de maladie d'Alzheimer. Jusqu’ici, les mécanismes précis par lesquels la neuroglobine agit contre la mort des cellules demeuraient imprécis.



L'auteur principal de l'étude, le Pr. Subhadip Raychaudhuri, professeur de génie biomédical a constaté que la neuroglobine préserve le fonctionnement des mitochondries de la cellule par la neutralisation d'une molécule nécessaire à la formation d'un type de protéine qui déclenche la mort de la cellule.

Les mitochondries sont de petites «capsules» essentielles dans les processus énergétiques cellulaires, jouent également un rôle important dans la communication entre les cellules, dans la différenciation et la croissance cellulaires. Une cellule meurt rapidement lorsque ses mitochondries s’arrêtent de « fonctionner ». Différents types de stress, tels que le manque d'oxygène, la faible teneur en éléments nutritifs, l'augmentation des niveaux de calcium ou la présence de substances toxiques peuvent mener les mitochondries à la rupture ce qui déclenche l’émission d’une molécule appelée cytochrome c. qui se lie avec d'autres molécules en dehors de la mitochondrie pour former une protéine appelée apoptosome. L'apoptosome aide à bâtir une enzyme qui dégrade et finit par tuer la cellule. Les cellules nerveuses peuvent survivre à la rupture des mitochondries si les apoptosomes ne se forment pas.

C’est la fonction de la neuroglobine, découverte par les chercheurs qui lorsqu’elle se lie au cytochrome c, empêche de former un apoptosome.



Cette découverte ouvre de nouvelles approches dans la prévention et le traitement de la maladie d'Alzheimer car elle démontre que des niveaux élevés de cette protéine pourraient freiner le développement des maladies neurodégénératives. Et en plus, s’appliquer aussi à l’AVC, ajoute l’auteur principal.
source:www.santelog.com
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Alzheimer : l'espoir de la stimulation cérébrale

La mémoire pourrait bénéficier d'une sonde implantée dans le cerveau.

La maladie d'Alzheimer frappe plus de 800.000 personnes en France et l'on ne dispose pas encore de traitements efficaces. Plusieurs essais thérapeutiques sont en cours, plusieurs stratégies de prévention envisagées, mais rien qui permette pour l'instant d'empêcher la dégradation de la mémoire. Cette semaine, la revue américaine Annals of Neurology présente des résultats de travaux de recherche tout à fait novateurs concernant six personnes souffrant d'un début de maladie d'Al zheimer et traités entre 2005 et 2008 par stimulation cérébrale profonde avec une sonde. Certes, l'amélioration cons tatée au bout d'un an ne concerne que la moitié des patients traités. Néanmoins, si ce travail pour l'instant expérimental se confirme, une nouvelle ère, tant de recherche que dans la prise en charge de cette maladie, pourrait s'ouvrir. Tout en sachant que la stimulation cérébrale nécessite un geste chirurgical sur le cerveau et requiert donc un plateau technique performant.

C'est en 2003, qu'Andres M. Lozano (service de neurologie fonctionnelle, université de Toronto, Canada) a eu l'intuition qu'une stimulation cérébrale pouvait avoir un effet sur la maladie d'Alzheimer, après que des essais ont mis en évidence son efficacité dans la maladie de Parkinson et dans certaines dépressions… Cette année-là, pour la première fois, une patiente obèse souffrant de trouble de la mémoire a bénéficié d'une implantation cérébrale de ce type sous sa supervision.

Amélioration des souvenirs
L'hypothèse de départ est que la stimulation de certaines régions du cerveau, notamment l'hippocampe et le fornix, connues pour être impliquées dans les phénomènes de mémorisation, pourrait avoir un effet frénateur sur la maladie. Sous ce traitement, cette patiente a pu retrouver des éléments de sa biographie personnelle, avec notamment une amélioration des souvenirs et de l'aptitude à les verbaliser. Forte de cette première expérience, l'équipe canadienne a alors obtenu l'autorisation de tester cette méthode sur six malades âgées de 40 à 80 ans, souffrant d'une maladie d'Alzheimer de diagnostic récent (moins de deux ans) et qui avaient déjà bénéficié des traitements existants.

L'intervention a d'abord consisté à repérer certaines zones cérébrales précises particulièrement touchées dans la maladie grâce à l'imagerie par résonance magnétique nucléaire. Puis des électrodes de stimulation cérébrale profonde ont été implantées de manière bi latérale dans le cerveau au niveau des zones repérées. Les électrodes ont été sti mulées alors que le patient était éveillé, pour vérifier qu'elles n'altéraient pas des zones fonctionnelles et n'in duisaient pas des symptômes imprévus. Enfin, elles ont été connectées à un générateur interne implanté au niveau de la poitrine, sous anesthésie générale cette fois.

Amélioration possible ou ralentissement du déclin
Tous les patients ayant bénéficié de cette expérience sont rentrés chez eux quelques jours plus tard. «L'évaluation de signes de la maladie d'Alzheimer par différents tests suggère une amélioration possible ou un ralentissement du déclin des fonctions cognitives au bout de six mois et au bout d'un an, pour un certain nombre de patients», relatent les au teurs de cet essai clinique. Il n'y a pas eu de complications particulières.

En tout état de cause, ces chercheurs plaident pour un nouvel essai thérapeutique afin de comparer les effets de cette technique avec un placebo. «Ce travail est bien fait, mais il est très préliminaire, assure Françoise Forette (professeur de gériatrie, hôpital Broca, Paris). Il faut cependant souligner que ce sont les patients les moins atteints au départ qui ont bénéficié des meilleurs résultats. Par ailleurs, les chercheurs ont pu observer une amélioration du métabolisme cérébral ce qui est tout à fait encourageant.»

source:www.lefigaro.fr
lundi 9 août 2010
Trois actions pour ne pas perdre la tête

Vous voulez réduire votre risque de développer une démence après 65 ans?

Plusieurs facteurs ont déjà été identifiés afin de prévenir la démence, notamment les prédispositions cardiaques (comme l'hypertension), le régime alimentaire et le niveau d'éducation.

Or, la Dre Karen Ritchie et ses collègues de l'institut français de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) ont établi les facteurs qui sont le plus fortement susceptibles de réduire le poids de la démence en vieillissant.

Voici les trois mesures les plus susceptibles de réduire les nouveaux cas de démence après 65 ans :

* Développer et renforcer ses capacités intellectuelles
* Combattre la dépression
* Contrôler son diabète

L'association de ses trois mesures permettrait de réduire de 21 % le nombre de nouveaux cas dans la population générale sur 7 ans.

À elle seule, l'amélioration des capacités intellectuelles conduirait à une réduction de 18 % du nombre de nouveaux cas dans la population sur la même période. Prévenir et traiter la dépression permettrait de réduire de 10 % le nombre de cas nouveaux.

Selon les auteurs, les autorités sanitaires devraient s'appuyer sur ces données pour améliorer leurs interventions en santé publique afin d'être plus efficaces.

Pour en arriver à ces résultats, l'équipe française a suivi 1433 personnes en bonne santé de plus de 65 ans pendant 7 ans, recrutées entre 1999 et 2001.

De nombreux examens incluant des tests cognitifs ont été réalisés au début de l'étude, puis 2, 4 et 7 ans plus tard. Tous les facteurs sociaux ont aussi été considérés (antécédents médicaux, taille, poids, revenus, niveau d'éducation, consommation d'alcool et de tabac).

source:www.radio-canada.ca
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dimanche 8 août 2010
Des impulsions électriques pour améliorer la mémoire
La mémoire de personnes à qui l'on a diagnostiqué la maladie d'Alzheimer à ses premiers stades peut-elle être améliorée en stimulant le cerveau?

Le Dr Andres M. Lozano et son équipe du Toronto Western Hospital affirment que le recours à des impulsions électriques peut stimuler les neurones du cerveau et ainsi réparer les cellules endommagées.

La technique, simple et sans danger, est déjà utilisée pour traiter la maladie de Parkinson, affirme le Dr Lozano.

Premier test

Des implants ont été installés dans le cortex de six patients qui ont été hospitalisés quelques jours, mais suivis sur une période d'un an. Les premiers résultats montrent que :

* deux patients ont vu leur état s'améliorer;
* deux n'ont pas constaté de changement;
* deux ont vu leur état se détériorer.

Les évaluations préliminaires montrent, selon les chercheurs, que la moitié des patients ont vu leur mémoire s'améliorer ou se détériorer moins que prévu.

Les chercheurs veulent poursuivre cette expérience auprès d'une cinquantaine de patients, et cherchent maintenant le financement.

Le Dr Lozano affirme avoir découvert le potentiel de ce traitement en 2003 en constatant l'amélioration de la mémoire d'un patient qu'il traitait pour son obésité.

Le détail de ces travaux est publié dans les Annals of Neurology.

Au début de juin, des chercheurs américains annonçaient la découverte d'un processus biologique impliqué dans l'apparition des troubles de la mémoire au début de la maladie.
source:www.radio-canada.ca

1 commentaire:

  1. Comment j'ai été guéri du virus de l'herpès.

    Bonjour à tous, je suis ici pour donner mon témoignage sur un herboriste appelé dr imoloa. j'ai été infecté par le virus de l'herpès simplex 2 en 2013, je suis allé dans de nombreux hôpitaux pour y guérir, mais il n'y avait pas de solution, alors je réfléchissais à la façon de trouver une solution pour que mon corps se porte bien. un jour, j'étais au bord de la piscine, je cherchais et je pensais où trouver une solution. Je passe par de nombreux sites Web où j'ai vu tant de témoignages sur le Dr Imoloa sur la façon dont il les a guéris. je n'y ai pas cru mais j'ai décidé de lui donner un essai, je l'ai contacté et il m'a préparé l'herpès que j'ai reçu par le biais du service de messagerie DHL. je l'ai pris pendant deux semaines après, puis il m'a demandé d'aller vérifier, après que le test m'a confirmé l'herpès négatif. suis tellement libre et heureux. donc, si vous avez un problème ou si vous êtes infecté par une maladie, veuillez le contacter par e-mail drimolaherbalmademedicine@gmail.com. ou / whatssapp - + 2347081986098.
    Ce témoignage exprime ma gratitude. il a aussi
    remède à base de plantes pour, FIÈVRE, DOULEUR CORPORELLE, DIARRHÉE, ULCÈRE DE LA BOUCHE, FATIGUE DU CANCER DE LA BOUCHE, ACHES MUSCULAIRES, LUPUS, CANCER DE LA PEAU, CANCER DU PÉNILE, CANCER DU SEIN, CANCER PANCRÉATIQUE, CANCER CHINIQUE, CANCER VAGIN, CERVICALE MALADIE POLIO, MALADIE DE PARKINSON, MALADIE D'ALZHEIMER, MALADIE BULIMIAQUE, MALADIE COMMUNE INFLAMMATOIRE FIBROSE KYSTIQUE, SCHIZOPHRÉNIE, ULCÈRE CORNÉENNE, ÉPILEPSIE, SPECTRE D'ALCOOL FŒTAL, LICHEN PLANUS, CANTIDE, BARDEAUX, BARDEAUX, BARDEAUX / SIDA, MALADIE RESPIRATOIRE CHRONIQUE, MALADIE CARDIOVASCULAIRE, NÉOPLASMES, TROUBLE MENTAL ET COMPORTEMENTAL, CHLAMYDIA, ZIKA VIRUS, EMPHYSEMA, TUBERCULOSIS LOW SPERM COUNT, ENZYMA, DRY COUGH, ARTHRITE, LUCHE, LUCIA ÉRECTION, ÉLARGISSEMENT DU PÉNIS. ETC.

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